Bonne Année... La tête prise dans un étau...
Libellés : rien
des petites histoires sans conséquence...
une sorte de journal intime...
avec un peu de poésie de ma compo... et autres...
L'histoire de ce blog se conjugue au futur et son origine restera au passé dans le rien et l'absurde que l'on croyait aimer.
Tilou8897
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Le silence de ma solitude
Ce laisser-aller que je prends comme une habitude
C’est mon paradis en ce moment
C’est mon enfer de l’instant.
Et je ne sais plus comment revenir.
Je pourrais raconter des histoires
Je pourrais ne rien dire
Mais tout cela, il faut pouvoir
Mon amour m’a dit de partir, de la haïr
Comment comprendre tout cela ?
Comment vouloir de cela ?
Je ne sais pas comment le dire
Alors je crois qu’il ne me reste qu’à partir.
Tilou
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Libellés : musique
Goutte d’eau, graine de mer, tombe et s’éclate dans un claquement sec contre le sol froid, impassible. Goutte d’eau, graine de mer, s’évapore, disparaît pour retomber et s’éclater de nouveau sur ce sol encore plus froid. Goutte d’eau, graine de mer, l’air marin chatouille la narine comme le nectar, la langue des divines. Graine de mer comme le ciel que tu pourris, marque d’une trace indélébile les corps et les mémoires. Graine de mer qui fait naître le sable où tant de corps outragés saignent et meurent sur sa plage.Libellés : amour, fille du rien, poèmes
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Ca y est. Je n'ai plus de regrets. Ce moment tant attendu qui empêchait mon coeur d'aller de l'avant, ce moment est arrivé. Je n'ai plus que de la tristesse. Peut-être de la miséricorde aussi. Mais voilà. On se refuse tellement de croire que les gens à qui l'on se donne sans retenue, en fait, n'étaient pas des gens de valeurs que l'on fait du surplace. On se dit que ce n'est pas possible d'avoir aimé comme cela. On se dit que ce n'est pas possible de s'entendre écrire :"Oui, je t'ai aimé, j'ai même pensé à quelque chose pour nous... J'ai essayé..." et puis dans la foulée, "Oui mais je suis attachée à mon autre même si je l'aime pas et que c'est pas l'homme de ma vie", et "Est-ce que j'ai envie que cela change ? ça je ne le pense pas.". C'est quoi ce raisonnement ? C'est moi qu'ai loupé un épisode ? C'est moi qui ai les neurones qui sont partis en vrille ? Tu as essayé rien du tout. Te rends-tu compte de cela ? Tu es partie au moment où j'ai commencé à te demander plus. Tu es changeante, tu es malade dans ta tête. Point du tout. Ta maladie, c'est de l'égoïsme truffé de masochisme. Tu veux rester avec lui. Reste. Il ne te fera jamais progresser puisqu'il ne te voit pas. Il ne voit que ton poster. Remarque, il est aussi égoïste que toi. Vous devriez faire la paire. Mais ne demandes pas le bonheur si tu te complais dans ton malheur. Si tu crois que ta vie est finie, bah termines-en tout de suite. Pfff... Tu vois bien que tu racontes que des conn*****. Tu vois bien que tu m'écris comme une gamine de quatorze ans. Quand je t'ai rencontrée, tu en avais 22 et tu étais mature. Qu'est-ce qui t'es arrivée ? Bon j'arrête-là.Libellés : fille du rien, mon histoire

Libellés : fille du rien, poèmes
Les choses de la vie sont assez étranges des fois. Elles n’ont pas le sens des mesures. Le temps, l’intensité ne suivent pas tout le temps une règle croissante et proportionnée. Je le croyais avant que ne m’arrive ce que je compter vous conter là, ce soir. C’est une des premières fois que je prends le temps de me poser. Depuis maintenant, six mois, me vie a pris un tournant que je n’aurais jamais envisagé. J’ai pris l’habitude depuis quelques semaines de l’appeler mon histoire de rien. Pourquoi ? Parce c’est une histoire de rien. Rien est le mot qui résume tout, toute la pensée de celle qui me l’a fait partager autant que tous les événements qui ont pu se passer. Peut-être ne comprenez-vous pas ce que je veux dire par là tout et maintenant. Mais quand vous aurez lu ce récit en entier, vous jugerez. Je ne vous impose pas de lire. J’aurais sûrement préféré garder cette histoire pour moi, avant. Mais je ne sais pourquoi il y a un moment où la pudeur disparaît. C’est une espèce de sentiment de vouloir témoigner, de vouloir consigner chaque détail sur papier, pour peut-être comprendre plus tard ce qui s’est passé. C’est peut-être vain, cette quête pour entendre des événements qui n’ont aucune logique, enfin que l’on croit. Mais je le fais aussi pour elle. Pour qu’elle comprenne un jour ce que j’ai pu lui dire, lui écrire. J’espère aussi la sauver d’un raisonnement qui ne tient pas debout parce que je sais qu’elle en est capable.
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Ce soir, je pense à toiLibellés : poèmes

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Et voilà. Je suis là, ce soir. Encore à m’interroger. Je ne sais pas ou plutôt, je ne sais plus où je vais. J’ai cette impression latente d’être dans une impasse. Dans ma tête et dans mon cœur. Pourquoi je doute ? Pourquoi j’ai honte de ce que je ressens ? Je devrais être heureux. D’avoir mon cœur qui s’agite de nouveau. Pourquoi repensé-je à elle ? Pourquoi j’ai réécrit un poème pour elle ? N’ai-je pas fait le tour ? Ne suis pas assez convaincu qu’à mes questions, je n’aurais jamais de réponse ? Je n’en sais rien. J’ai l’impression d’être perdu. Peut-être que je le suis. En vrai. Elle me manque. Mais est-ce elle qui me manque ou simplement l’objet à qui je pourrais donner de la tendresse, de l’amour sans me poser de question ? Je n’en sais rien, je ne sais plus. J’ai la tête vidée de toutes les émotions qui me traversent. Je suis au bout. Enfin, ça, je le crois à chaque fois. Et chaque fois, j’ai beau sourire, rire, faire semblant quoi… J’ai envie de pleurer. Et je ne sais même pas pourquoi. Et je ne sais même pour qui. Pour moi ? Non, ça je m’en fous. J’ai envie de sortir tout ce que j’ai dans la tête, toutes ses idées qui m’empêchent d’avancer. Mais comment on fait pour oublier ? Pour passer au-dessus ? Pour être fort quoi. J’en ai marre de tourner en rond dans ma tête. J’en ai marre de voir de la lumière au bout du tunnel et de marcher à reculons. Je n’en peux plus de cet amour dont je ne sais pas quoi foutre.
J’aime, je suis mal. Est-ce vraiment logique tout ça ?
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