Jouir, Oui, mais surtout pas
Jouir, Oui, mais surtout pas
(ou qu'une histoire de sexe)
J’ai rêvé cette nuit,
Pas de bébés givrés,
Mais de ces nuits volées,
Parties, perdues, depuis ;
Je me souviens de toi,
De tes baisers sucrés
Quand tu venais fouiller,
De tes seins qu’on voit pas ;
Nous montions doucement,
Je te laissais ta main
Me montrer le chemin,
Pénétrant lentement ;
Et là, je te cherchais,
Le sens, le mouvement,
Et toi, tu respirais
Cherchant ton firmament ;
Et tu étais perdue
Remuant en tout sens
Et brisant la cadence
Et tu respirais plus ;
J’ai rêvé cette nuit
Que tu étais perdue,
Mais la peine perdue
J’ai rêvé d’une amie ;
Jouir, Oui, mais surtout pas,
Des fois qu’aimer serait ;
Il vaut mieux tuer là
Si l’enfant Rien naissait.
Tilou, Orléans, le 31 décembre 2006
(ou qu'une histoire de sexe)
J’ai rêvé cette nuit,
Pas de bébés givrés,
Mais de ces nuits volées,
Parties, perdues, depuis ;
Je me souviens de toi,
De tes baisers sucrés
Quand tu venais fouiller,
De tes seins qu’on voit pas ;
Nous montions doucement,
Je te laissais ta main
Me montrer le chemin,
Pénétrant lentement ;
Et là, je te cherchais,
Le sens, le mouvement,
Et toi, tu respirais
Cherchant ton firmament ;
Et tu étais perdue
Remuant en tout sens
Et brisant la cadence
Et tu respirais plus ;
J’ai rêvé cette nuit
Que tu étais perdue,
Mais la peine perdue
J’ai rêvé d’une amie ;
Jouir, Oui, mais surtout pas,
Des fois qu’aimer serait ;
Il vaut mieux tuer là
Si l’enfant Rien naissait.
Tilou, Orléans, le 31 décembre 2006
Libellés : fille du rien, mon histoire, poèmes
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