11 septembre 2006

Silence Radio... et les questions qui en découlent (sans réponse)

Toujours pas de news de ma Nymphette. Je ne sais pas si elle est vivante ou morte, si elle est encore avec moi, ou pas. Je ne sais rien, je ne suis rien pour elle : "un amour de vacances" tout au plus. Et pourtant... Les filles ne sont pas faciles à comprendre d'ordinaire mais Nymphette : c'est la reine.
Je ne vais pas mentir, je songe à la fin mais je ne veux pas m'y résoudre parce que, Nymphette, c'est sûrement la plus belle qui me soit arrivée dans me petite vie. Une touche de fun, de vie. Avec elle, j'ai envie d'aller au bout du monde. J'ai tellement de rêves et de voyages à faire avec elle que y renoncer, c'est comme si je me mettais un revolver sur la tempe.
C'est surtout que je ne comprends où est le problème. J'ai fait une connerie, une fois et puis a priori, elle m'avait pardonné et puis la plus rien. Et puis rien de compréhensible dans ses messages : est-ce que c'est fini, est-ce qu'il y aura une suite ?
Je ne sais comment sont les autres histoires d'amour (les vrais) mais faut-il qu'elles soient ponctuées obligatoirement par ce genre de tension ? Est-ce que je me fais des idées et qu'il faut tout simmplement que je laisse encore couler une semaine. Une semaine de plus à rajouter au quatre autres.
Suis-je maudit ? Nymphette me posait la question de savoir si je me plaisais à être malheureux. Je lui ai répondu non. Mais de toute façon c'est le malheur qui me poursuit, alors il faut bien que je m'en accommode. Non ? S'il pouvait y avoir une personne qui puisse me dire ce que je dois faire ou penser, je serais le plus reconnaissant du monde.
Comme j'ai dit, je ne me complais pas dans le malheur. J'en ai marre de dormir tout seul avec winnie.
J'ai besoin de parler, de réponses à toutes les questions que je me pose et que je ne peux pas poser à ma Nymphette directement.

Je suis encore trop amoureux pour avoir un brin de lucidité.

Quelqu'un pourrait-il lui dire que je l'aime et c'est même pas la peine d'essayer de trouver un adjectif pour qualifier comment : il n'existe pas....

Suis-je trop doux ? Trop "à fond dedans" mais que voulez-vous que j'y fasse ? Je suis dans une prison d'amour.

A plus tard... peut-être...

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