Poésie d'un dimanche soir sur cette planète Terre
Je vais dédier ce petit poème à un rêveur qui a toujours le bon mot. Me demandez pas pourquoi, je n'en sais rien.
Il est une mer où voguent rares voiliers,
Une mer où nagent beaucoup de naufragés
Une mer que l'on entend la passion souffler
Une mer que l'on voit au grand ciel bleu se lier
Comme le feu de la passion mène aux Enfers
Comme le rance du travers rend de l'amer
Comme l'amour de l'amour inspire des vers
La vie, la lourdeur de toujours appuie sur les nerfs
...
Dès l'aube le matin nouveau a revêtu
Ses habits à la mode les plus colorés
Le soleil a sorti ses traits les plus dorés
Le ciel était le plus beau qu'on n'ait jamais vu
Il est une mer où voguent rares voiliers,
Une mer où nagent beaucoup de naufragés
Une mer que l'on entend la passion souffler
Une mer que l'on voit au grand ciel bleu se lier
Comme le feu de la passion mène aux Enfers
Comme le rance du travers rend de l'amer
Comme l'amour de l'amour inspire des vers
La vie, la lourdeur de toujours appuie sur les nerfs
...
Dès l'aube le matin nouveau a revêtu
Ses habits à la mode les plus colorés
Le soleil a sorti ses traits les plus dorés
Le ciel était le plus beau qu'on n'ait jamais vu
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