Fin de la nuit de ma vie
La nuit s’est levée dans ma tête. Elle est partie avec cette vilaine migraine qui m’a gâché les fêtes. Mais je ne le regrette pas. Comment, pourquoi la nuit s’en est allée ? Je ne sais pas. Le changement d’année. Peut-être. La volonté de relever la tête, sûrement.
A vous, fils et filles du rien, de l’inconséquence, je vous plains en même temps que je vous comprends. A toi, ma fille de rien, je t’ai écrit mil fois pour la dernière fois mais cette fois-ci, c’est
J’ai repensé mille fois à cet épisode et j’ai regretté cent fois plus de ne pas t’avoir baffée ce jour-là. Eh oui, tu m’as rendu coupable de non-assistance à personne en danger. Et je m’en voulais. J’espère qu’il y a aura un pompier qui te baffera un jour pour ça. Je m’en voulais. Tu le crois ça ?
Bon allez, fini. J’ai un roman à écrire pour graver cette histoire dans le marbre de
Tilou, Orléans, le 3 janvier 2007.
Libellés : fille du rien, mon histoire
1 Comments:
Good post.
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