14 septembre 2006

Définitivement attendre...

Quelque soit le moyen de communication utilisé pour essayer de dialoguer avec Nymphette : c'est à peu près toujours la même chose. Silence. Rien à dire (ou peut rien dire).
Pas bouger, on risquerait de tomber.
Je ne sais pas si l'image du "verrou mortel" est une vrai traduction de la situation parce que je ne la vois que de mon côté. A priori, elle est fausse parce que quand j'ai demandé à Ma Nymphette ce qu'elle attendait de moi, s'il fallait que je lui dise quelque chose pour nous sortir de cette situation qui pourrait presqu'en être comique si je ne la ressentais pas comme tragique, rien, silence.
Dois-je le prendre comme un encouragement ? Je sais bien que je suis chiant avec mes questions à la con mais bon, ça va faire quatre semaines de non réponse.
Je regrette d'être remonté chez ma frangine, d'être allé fêter ce putain d'anniversaire. C'est à ce moment que tout a commencé. Mais à bien y réfléchir, je crois que cela n'aurait rien changer. Il faut que les choses se passent comme cela que ça me plaise ou non. Mais comprendre pourquoi je suis dans ce merdier : cette question me tourne dans la tête et je n'arrive pas à l'en sortir.
Pourquoi je suis comme cela ? Je ne peux pas m'en foutre tout simplement.
En plus, ça se trouve voilà, je suis en train de suicider ma relation avec Ma Nymphette. Merci Papa, merci Maman.
Je suis sûr qu'en plus Ma Nymphette pense la même chose : pourquoi je suis comme cela ? Ou alors je suis à côté de la plaque.

Quel bordel !

Faut-il pleurer, gueuler, se taire, se tuer ? Elle est où cette putain de sortie et elle arrive quand ?

Désolé de m'emporter, je raconte n'importe quoi, je fais n'importe quoi. Mais ça m'évite de retomber dans le vide abyssal de ma déprime. Je sais qu'elle est pas loin. Je l'entends pas loin des fois au fond de ma voix.

@+

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