...
Quand la mer devenait trop houleuse
Quand le gris colorait le ciel bleu
Que se levait la bise frileuse
Que le froid s'emparait des doigts bleus
On s'en allait au grand paquebot
Pour retrouver un peu de chaleur
Pour échanger juste quelques mots
Pour fuir loin de cette vie qui meurt
On parlait peu, on se regardait
On riait des fois, pleurait parfois
Sur un bras doux, frais comme du lait
Et l'on oubliait tous les tracas
Et un jour, on déposa les armes
Pour de bon et enfin pour de vrai
On laissa glisser, couler les larmes
Sur les draps froissés du lit défait
On se laissa aller dans l'élan
D'un coeur vert qui n'avait pas vécu
Qui cherchait un autre coeur amant
Quand le gris colorait le ciel bleu
Que se levait la bise frileuse
Que le froid s'emparait des doigts bleus
On s'en allait au grand paquebot
Pour retrouver un peu de chaleur
Pour échanger juste quelques mots
Pour fuir loin de cette vie qui meurt
On parlait peu, on se regardait
On riait des fois, pleurait parfois
Sur un bras doux, frais comme du lait
Et l'on oubliait tous les tracas
Et un jour, on déposa les armes
Pour de bon et enfin pour de vrai
On laissa glisser, couler les larmes
Sur les draps froissés du lit défait
On se laissa aller dans l'élan
D'un coeur vert qui n'avait pas vécu
Qui cherchait un autre coeur amant
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