Parler, OU PAS ?
Tout d'abord, il faut avoir quelque chose à dire. Moi, j'ai toujours plein de trucs à dire. J'ai besoin de parler. Faute de trouver quelqu'un, je parle à qui voudra bien l'entendre. Après, est-ce que ce que je mets dans ce blog est la même chose que ce je mets dans mon journal : oui. Sauf que j'ôte tout indice qui pourrait trahir l'anonymat des personnes. Sinon, je mets l'intégralité.
Cela me fait penser à une discussion que j'ai avec Ma Nymphette (eh ouais, on a pas arrêté de parler de plein de choses à la belle époque). Je lui ai donné pas de choses que j'ai écrites et même du courrier (du vrai) , des lettres que j'ai envoyées ou non mais qui parlent de choses, disons, personnelles ? Elle me demande si cela ne me gênait pas de faire cela. La question en reformulé était pourquoi étais-je capable de faire cela. Je ne sais plus exactement comment j'ai tourné la réponse, mais voilà grosso modo, ce n'est pas que je n'attache pas beaucoup d'importance aux mots que j'écrit, pour moi, quand c'est écrit, y a pas d'intérêt de le maintenir caché. Par contre, je lui disais, il ne faut pas que celui qui lise cherche à juger du contenu. On peut rarement juger les personnes sur leurs actes ou leurs écrits. Je sais que j'écris ce que je pense à un instant t mais peut-être que je vais y revenir dans la minute dans l'heure dans l'année. J'ai pas la peur de me dire que cela va être mal interprêté.
Tout d'abord parce j'essaie au maximum d'être univoque car j'ai horreur des phrases à tiroir. Je sais qu'y en a qu'aiment brouiller les pistes moi pas. Par contre, et cela, je m'en excuse pour ceux qui lisent, mais je marche beaucoup avec des sous-entendus et parfois même des clins d'oeil à une personne qui elle seule pourra comprendre le sens entier. Les autres verront le principal.
Et puis si j'ai mis "journal intime" dans le titre du blog, ce n'est pas pour faire de la censure. Cela n'a aucun intérêt.
Je pense que c'est une question de respect des autres.
Au fait pour ceux que ça ennuie que je parle de Ma Nymphette, je ne vais pas dire "passez votre chemin" non, mais voilà, ce'st comme ça. Je l'aime et j'en parle beaucoup.
Faut dire, je vais me répéter, mais nous avons pas arrêté de parler depuis que nous nous sommes rencontrés et, tiens, c'est peut-être aussi pour cela, que cela me paraît si dur à comprendre. Nymphette, si tu m'entends, j'ai p'têt trouvé une raison à ma chiantitude.
En tout cas, voilà, je ne vois pas de barrière au fait de mettre tout absolument tout au regard de tout le monde. Après l'Homme est avant tout un être social, non.
Allez @plus faut que j'essaie de manger (ben ouais, c'est encore fluctuant ce truc-là) et faut que je me force quitte à être malade après, parce que sinon, je ne serais plus jamais malade de tout ma vie si vous voyiez ce que je veux. Encore une chose, je crois que c'est la plus longue crise (j'sais pas si ce'st vraiment le mot, j'ai jamais consulté) d'anorexie.
bye
Cela me fait penser à une discussion que j'ai avec Ma Nymphette (eh ouais, on a pas arrêté de parler de plein de choses à la belle époque). Je lui ai donné pas de choses que j'ai écrites et même du courrier (du vrai) , des lettres que j'ai envoyées ou non mais qui parlent de choses, disons, personnelles ? Elle me demande si cela ne me gênait pas de faire cela. La question en reformulé était pourquoi étais-je capable de faire cela. Je ne sais plus exactement comment j'ai tourné la réponse, mais voilà grosso modo, ce n'est pas que je n'attache pas beaucoup d'importance aux mots que j'écrit, pour moi, quand c'est écrit, y a pas d'intérêt de le maintenir caché. Par contre, je lui disais, il ne faut pas que celui qui lise cherche à juger du contenu. On peut rarement juger les personnes sur leurs actes ou leurs écrits. Je sais que j'écris ce que je pense à un instant t mais peut-être que je vais y revenir dans la minute dans l'heure dans l'année. J'ai pas la peur de me dire que cela va être mal interprêté.
Tout d'abord parce j'essaie au maximum d'être univoque car j'ai horreur des phrases à tiroir. Je sais qu'y en a qu'aiment brouiller les pistes moi pas. Par contre, et cela, je m'en excuse pour ceux qui lisent, mais je marche beaucoup avec des sous-entendus et parfois même des clins d'oeil à une personne qui elle seule pourra comprendre le sens entier. Les autres verront le principal.
Et puis si j'ai mis "journal intime" dans le titre du blog, ce n'est pas pour faire de la censure. Cela n'a aucun intérêt.
Je pense que c'est une question de respect des autres.
Au fait pour ceux que ça ennuie que je parle de Ma Nymphette, je ne vais pas dire "passez votre chemin" non, mais voilà, ce'st comme ça. Je l'aime et j'en parle beaucoup.
Faut dire, je vais me répéter, mais nous avons pas arrêté de parler depuis que nous nous sommes rencontrés et, tiens, c'est peut-être aussi pour cela, que cela me paraît si dur à comprendre. Nymphette, si tu m'entends, j'ai p'têt trouvé une raison à ma chiantitude.
En tout cas, voilà, je ne vois pas de barrière au fait de mettre tout absolument tout au regard de tout le monde. Après l'Homme est avant tout un être social, non.
Allez @plus faut que j'essaie de manger (ben ouais, c'est encore fluctuant ce truc-là) et faut que je me force quitte à être malade après, parce que sinon, je ne serais plus jamais malade de tout ma vie si vous voyiez ce que je veux. Encore une chose, je crois que c'est la plus longue crise (j'sais pas si ce'st vraiment le mot, j'ai jamais consulté) d'anorexie.
bye
Libellés : mon histoire
1 Comments:
Sorry pour les mots manquants
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